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FILMOGRAPHIE II (une sélection 2003 / 2013)

TOI, SEULE, lettre de séparation, essai (photographies), noir & blanc, 7' – 2013.

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visionner le film :


DERRIÈRE LA NEIGE,
lettre de séparation, essai (vidéo téléphone portable), coul., 7' – 2013.

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REVERS DE JALOUSIE, lettre de séparation, essai  (photographies), couleur et N&B, 12' – 2013.

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CARTES POSTALES VIDÉO
à visionner :

LETTRE À JACK LONDON, carte postale vidéo, avec Nicolas Desverronnières, photographies, N&B, 5'30'' – 2014
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LETTRE À ROBERT MITCHUM, carte postale vidéo, avec Christophe Desforges et Muriel Louette, DV, couleur, 5'30'' – 2014
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NULLE ARCADIE, essai, vidéo DV, coul. et N&B, bande-son de Pascal Battus, 25' – 2012-2013

Le film est composé de deux parties distinctes et connexes : un premier texte défile sur l’écran puis un montage d’images et de sons en résonance avec le texte. Libre au spectateur de fabriquer mentalement son film en mémoire du texte qui lui a été donné à lire au préalable. L’espace d’un clin d’œil perlé vers le monde grec, le film traduit la nostalgie amère de notre Arcadie en souvenirs de la planète bleue devenue parc. Nulle Arcadie se voit comme le double de Dévoyage – Séoul : le Dévoyage – Paris…

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EX VIDÉO (nous ne dansons pas pour rien), installation vidéo :

EX VIDÉO

DU TERRITOIRE DE L'ÂNE, essai vidéo DV, 20', son de Thomas Charmetant, coul. et N&B - 2006-2012

Quelle serait la nature du rapport entre des ellipses découvertes à marée basse, des abreuvoirs abandonnés dans la lande, une palissade déformée, l’aire de broute d’un âne ou son crottin déposé dans l’herbe ? — Un rapport d’implication. Film à caractère quelque peu « pataphysique », cette vidéo serait une introduction à l’art du pays, premier exposé d’une série (EXPOSITIONS / EXPOSÉ) visant à expliciter certaines images de formes et de pratiques du paysage.


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UN CONTACT, récit, photographies et vidéo (DV), coul. et N&B, 15' – 2012.

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à propos du film

DÉVOYAGE, essai vidéo, photographies et vidéo (DV), coul. et N&B, bande-son de Loïc Blairon, avec la voix de Guillaume Allardi, photographies de Chris Marker et Alban Mannisi, 20' – 2011.

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Plongée dans une mégalopole asiatique (Séoul de nos jours), cet essai tente d'opposer à la lourdeur envahissante actuelle un brin de légèreté. Ce flux saturé d'images urbaines trouve ainsi quelques moment-écluses, notamment dans la photographie qui encadre le film d'une jeune femme coréenne prise en 1958 par Chris Marker. Ce film, qui ne se veut ni plainte ni réquisitoire, est une peinture certes subjective de ce qui a lieu mais peut-être un fragment microscopique de l'état des lieux. La bande-son originale réserve au flux filmique des ponctuations et des espaces parallèles de résonance propres à réfléchir ce que l'on entend par voir.
 

LA CHAISE, essai, vidéo (téléphone portable), coul. et N&B, bande-son de Loïc Blairon, 19’ – 2009.

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Gardien de musée d'art moderne le temps d’un été, le réalisateur fait partager son expérience de l’enfermement en se mettant en scène par un jeu d'actions du corps, dans ce lieu aussi désert que claustrophobique : l'occasion de réfléchir avec ironie sur le monde du travail et la société surveillée dans laquelle nous vivons. Exercice de style burlesque, ce film est servi par une auto-mise en scène permise par la discrétion du téléphone portable.

L'IMPROPRIATION, essai, vidéo (DV et téléphone portable), coul., bande-son de Benjamin Duboc, 19' –2009-2011.

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Si le travail n'est pas considéré comme une « occupation personnelle » (Code du travail), en quoi le temps passé à travailler demeure-t-il propre à celui qui s'y plie ? L'impropriation est un néologisme qui pointe cette expropriation du temps personnel de l'employé au profit de l'employeur et, implicitement, une définition réductrice du « temps » et du « travail ». L'employé est ici incarné par une sorte de gardien du vide interprété par le réalisateur sur le lieu de son gagne-pain. Ce film est servi par une auto-mise-en-scène permise par la discrétion du téléphone portable et une bande-son originale composée de deux parties distinctes et implacables. Ce film compose avec LA CHAISE un diptyque, mais les deux films sont autonomes.


INSTALLATION, documentaire fiction (subvertissement) en étroite collaboration avec Sébastien Hoëltzener, vidéo (DV), coul., avec S. Hoëltzener et F. Gourdien, 20' – 2009

Lors de sa clôture de résidence d’artiste en lycée agricole, SH reçoit la visite d’un ami…

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LE POIDS DES VAGUES (I et II), essai, vidéo (DV), coul. et N&B, musique et prises de son de Thomas Charmetant, avec les voix de Sonia Fleurance et Mélanie Vaugeois, 17' et 6’ – 2009.

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Ce très court récit de la lutte d’une jeune femme face aux vagues forme avec LE POIDS DES VAGUES (I) un diptyque, mais les deux films sont autonomes. C'est en assistant à la scène d'une amie essayant de passer la barre des vagues, échos d'une tempête passée, que j'ai empoigné ma caméra, puis, quelques mois après, écrit un texte à son sujet. Le texte se retrouve en partie dans le film. Sa lutte physique contre les vagues entre en correspondance avec la lutte mentale de Virginia Woolf écrivant les Vagues. Coïncidence allégorique ? – Je ne le pense pas, impliquant dans le texte de ce film la lutte qu'a été l'histoire de cette amie depuis qu'elle est une petite fille et qu'aujourd'hui je la sais lutter à écrire ses propres textes.
 

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De 1929 à 1931, Virginia Woolf écrit les Vagues. Ce fut une lutte, comme en témoignent certains passages de son Journal. J'ai désiré faire entendre V. Woolf dans sa lutte lors de l'écriture des Vagues, ce que ce livre a coûté à son auteur et ses réflexions. J'ai opté pour des images référentielles, des plans en relation analogique et plus ou moins proches des mots qui sont prononcés dans le film (des vagues, des incarnations de Virginia Woolf, des pierres, une petite fille…).

LE SECRET DE LA SENTINELLE, essai, vidéo (photographies et DV), coul. et N&B, bande-son de Loïc Blairon, avec la voix de Anne Beaumond, 25' – 2009.

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Ce film est un analogon de Toi, roi, comment va ton île ?
dans lequel le roi est devenu une sentinelle aux aguets et, ce, depuis l’enfance…

TOI, ROI, COMMENT VA TON ÎLE ?, essai vidéo (DV, photographies et téléphone portable), coul. et N&B, bande-son de Loïc Blairon, avec la voix de Anne Beaumond, 33' – 2008.

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Composée de « photographies de famille », de citations et de quelques plans vidéo, la bande-image de ce film fait écho au texte en voix-off dans lequel est évoqué un roi :
le roi en toi, en vous, en nous-mêmes, les individus.

 e #2, essai vidéo, 3' - 2009, avec Anne Beaumond, son de Benjamin Duboc

L'être-faire… ?

visionner le film :


ÉCOUTE (I & II), vidéo (DV), coul., musique de Thomas Charmetant, avec la voix de Sonia Fleurance, 13' – 2007.

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Un appel de l’attention. Écoute, composé de trois différents plans d’enfants qui regardent quelque chose (la mer, une parade folklorique ou la caméra) avec grande attention, repose sur un texte en voix-off dans lequel il est demandé au spectateur – et implicitement aux enfants – d’écouter un « pépiement », une « plainte ». C’est dans la recherche de ce son infinitésimal que le film appelle le spectateur à se tenir aux aguets jusqu’au bout.
 

Violoncelle et prises de son : Thomas Charmetant, avec la voix de Sonia Fleurance Rappel de l’attention. Une anicroche, composé de plans de routes (fixes et travellings), repose sur un texte abstrait dans lequel il est question d’un micro-événement cérébral sonore. C’est dans la recherche de ce son infinitésimal que le film appelle le spectateur à se tenir aux aguets jusqu’au bout. Une anicroche est le second volet qui forme avec Écoute (I) un diptyque.

PITON, clip vidéo (DV), coul. et N&B, sur une musique électro-acoustique de Jean-Luc Guionnet, « Non-Organic Bias », avec la voix de Sonia Fleurance, 22' – 2006-2007.

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Montée – panorama – descente, Piton est un voyage aérien dans le paysage montagneux, le récit interne d’une ascension jusqu’au sommet de la montagne, ou celui d’une sorte de décollage raté ; parce que la jeune femme, protagoniste du film, ne s’en échappe pas (de la montagne) mais paraît s’y attacher les « tripes », voire s’en électrifier…

MAISON, vidéo (DV), musiques de Jean-Luc Guionnet, avec la voix de Sonia Fleurance, 12' – 2006-2007.

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Le film tourne autour d’une étrange maison plantée dans un paysage qui, parfois, semble s’éteindre. Aux abords de cette maison, le film trace sa ligne entre divers pôles contraires : la lumière et l’obscurité, le corps dans le placard et le paysage dans le vent, la couleur et le noir & blanc, dans le mouvement des étincelles et des gouttes de pluie…
 

CE QUI ME PRIT, vidéo-texte (DV), coul. et N&B, bande-son de Jean-Luc Guionnet, 26' – 2004-2008.

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De l’écrit à l’écran : un micro-texte apparaît : Plus je regarde ; puis le second : Mais ce qui me prit. Coupes entre les fragments de textes : des paysages sous influences. Les textes évoquent des moments de perception confuse où le flou semble l’emporter sur la signification exacte de ce qui ce serait passé, pris dans le rythme et la couleur de la bande-son originale.











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