FILMS EN COURS / 2023 - 2024
Depuis, j'écoute les fleurs (éclore) - fiction, 60', HD, couleur
avec Tsvetana Serafimova
Ce film s'inscrit dans une série de portraits parallèles, ou portraits en miroir, qui consiste à s'inspirer d'une personne de mes connaissances, quels que soient le degré et la nature de notre relation, de lui écrire un texte qu'elle porte ensuite en voix-off ou à l'écran, et de lui choisir une musique dans le répertoire « classique » plus ou moins familier. Ce biais, car ce sont des portraits de biais (en parallèle, pas de front), permet de déporter la question (du portrait) entre fiction et document, entre ce que je connais et ce que j'en invente. Depuis, j'écoute les fleurs est le second volet du portrait de Tsvetana Serafimova.
LA MALADIE DES CHOSES - essai fiction, 70', HD, couleur
Intérieur : un hangar, un carré blanc au sol, la dernière scène ? sept protagonistes constatent un bouleversement sans
nom dans l'Histoire : huis clos. Extérieur : un dialogue sur une promenade sans fin entre Heinrich von Kleist et Karoline
von Günderrode, les deux romantiques majeurs allemands, à propos de la difficulté d'être ; ils croiseront Friedrich
Hölderlin. Ces deux "histoires" sont montées en parallèle sans jamais se rencontrer. Un arc tendu entre la fin du 18ème
siècle et le premier quart du 21ème.
avec Tsvetana Serafimova
Ce film s'inscrit dans une série de portraits parallèles, ou portraits en miroir, qui consiste à s'inspirer d'une personne de mes connaissances, quels que soient le degré et la nature de notre relation, de lui écrire un texte qu'elle porte ensuite en voix-off ou à l'écran, et de lui choisir une musique dans le répertoire « classique » plus ou moins familier. Ce biais, car ce sont des portraits de biais (en parallèle, pas de front), permet de déporter la question (du portrait) entre fiction et document, entre ce que je connais et ce que j'en invente. Depuis, j'écoute les fleurs est le second volet du portrait de Tsvetana Serafimova.
LA MALADIE DES CHOSES - essai fiction, 70', HD, couleur
Intérieur : un hangar, un carré blanc au sol, la dernière scène ? sept protagonistes constatent un bouleversement sans
nom dans l'Histoire : huis clos. Extérieur : un dialogue sur une promenade sans fin entre Heinrich von Kleist et Karoline
von Günderrode, les deux romantiques majeurs allemands, à propos de la difficulté d'être ; ils croiseront Friedrich
Hölderlin. Ces deux "histoires" sont montées en parallèle sans jamais se rencontrer. Un arc tendu entre la fin du 18ème
siècle et le premier quart du 21ème.
Une scène de théâtre, plateau nu, noir, froid, sous une lumière céleste, un réflecteur miroir au sol côté jardin, une servante allumée ou non côté cour. 4 protagonistes sur scène le long d'une interminable nuit. UN FILM DE RECHERCHE LE PRÉTEXTE : Aux prises avec son amour fantôme et les mots de son irrémédiable solitude, un homme désespère de la disparition d'une femme qui se révélerait être une "sœur". Inconsolable de son propre abandon et de la perte d'un monde, il arrive au purgatoire où doit se jouer son sort – perdu d'avance. Mais il n'est pas le seul : une femme de poigne habite le plateau, lorsque un ange semble l'orchestrer et sa « sœur » de cœur y apparaître… L'amour se consume sur le plateau, le temps d'une courte tragédie qui tend vers l'unique plan-séquence final qui justifiera l'ensemble du film : la lecture d'un document de 1938, une lettre magnifique, perdue puis retrouvée, destinée au poète russe Ossip Mandelstam par sa femme Nadejda (long plan-séquence durant lequel l'actrice est seule sur le plateau, face à la caméra qui témoigne). L'INTENTION : Partir d'une pièce de théâtre est l'épreuve de force du film : déconstruire la pièce par les moyens propres au cinéma. Le texte (excepté la Lettre) y est prétexte, prétexte à habiter les mots qui tombent et le silence ou la musique qui s'ensuivent… et inventer la danse : la danse absorbe le texte entendu, le consume, elle "parle" c'est-à-dire elle danse pour la tragédie. Long-métrage, 60', vidéo HD, stéréo, couleur Avec Sacha Missiaen, Marina Sauvage, Raphaël Lester et Louisa Le Nezet. Textes : Ossip Mandelstam, F. G. Musiques : Jean-Luc Guionnet, Jean-Sébastien Bach, Somphou Inthavong |
SOUS LE SOLEIL de PROMÉTHÉE
Cinq milliards d'années annulent l'éternité, pourtant "promise" par Prométhée. Pour Qui Prométhée se serait-il trompé ? Dramaticule néo-classique au Louvre…
Court-métrage à trois voix, avec Claudie Manceau, Marina Sauvage et Sophie Barbier, 20', vidéo HD, stéréo, couleur